Chez Créanc’iale, nous savons qu’un impayé se prépare (souvent) dès le premier échange. C’est pourquoi il est essentiel d’anticiper en mettant en place les bons réflexes dès la signature du contrat. Voici nos conseils pour sécuriser vos relations commerciales… dès le départ.
1. Rédigez un contrat clair, complet… et signé !
Cela peut sembler évident, mais trop d’entreprises s’en tiennent à un devis ou à un simple échange de mails. Résultat ? En cas d’impayé, difficile de prouver l’engagement ou les conditions convenues.
Nos conseils :
- Un contrat écrit, reprenant les obligations de chaque partie (prestations, délais, conditions de paiement…).
- Une signature des deux parties (et un cachet pour les professionnels).
- Des CGV (conditions générales de vente) annexées et validées.
2. Soyez précis sur les délais et les modalités de paiement
Un flou sur les délais, c’est une porte ouverte aux retards. Mieux vaut tout indiquer noir sur blanc :
- Date d’échéance claire,
- Pénalités de retard mentionnées (obligatoire !),
- Indemnité forfaitaire de 40 € pour frais de recouvrement en cas de retard de paiement.
Bonus : une mention comme « Toute facture non réglée à l’échéance donnera lieu, sans relance préalable, à l’application de pénalités » a un effet préventif redoutable.
3. Vérifiez la solvabilité de votre client
Cela peut paraître intrusif, mais un minimum de vigilance commerciale vous évitera bien des mauvaises surprises :
- Demandez un Kbis récent,
- Consultez les informations financières disponibles en ligne,
- Analysez les retards de paiement éventuels avec d’autres fournisseurs si vous avez un réseau en commun.
4. Gardez une trace de tous vos échanges
En cas de litige, tout compte : mails, SMS, relances, bons de commande… Centralisez tout dès le début de la relation.
5. Et si besoin… faites-vous accompagner !
Chez Créanc’iale, nous proposons aussi un service de credit manager externalisé : nous vous aidons à sécuriser vos contrats, à structurer vos process de facturation et à prévenir les litiges avant qu’ils n’éclatent.
Parce que le meilleur recouvrement, c’est celui qu’on n’a pas besoin d’engager.